Paris, Maison des Missions, 1895, 251 p.
Il s’agit d’un ouvrage assez hagiographique et plein de bons sentiments, assez typique de la spiritualité évangélique de l’époque, mais qui ne permet pas de saisir les côtés plus sombres du pasteur Dhombres. Malgré certaines lacunes (l’ouvrage réussit l’exploit de ne pas nommer la femme et la fille du pasteur) il s’agit néanmoins d’une des rares sources de renseignements factuels sur Dhombres. Il existe une seconde édition augmentée (281 p.) de 1896, mais je n’ai pas réussi à me la procurer.
C’est une des rares évocations de la vie d’Ernest Dhombres dans un livre assez récent. Cabanel va jusqu’à dire que Dhombres a été « l’un des plus grands pasteurs de sa génération ».