Charles Drelincourt

Les consolations de l’âme fidèle contre les frayeurs de la mort

Chapitre 1 : il n’y a rien de plus épouvantable que la mort à ceux qui n’espèrent point en Dieu

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Dans ce premier chapitre de ses célèbres « Consolations de l’âme fidèle contre les frayeurs de la mort », l’auteur expose toutes les horreurs de la mort. Rien ne lui résiste, personne ne lui échappe, à cette prédatrice sans pitié et sans égards. Elle ne connaît pas de répit et se montre insatiable. Qui s’étonnera qu’elle remplisse d’effroi et de désespoir les hommes qui n’ont pas mis leur confiance et leur espérance en Dieu ?

La démonstration est magistrale et haute en couleur, très intense et très prenante.

Un seul regret, à notre avis : la chute nous semble décevante, car que gagne-t-on à déclarer que les hommes qui meurent apparemment sans effroi sont soit des brutes, soit des enragés et « ne méritent pas d’être mis au rang des créatures raisonnables » ?

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