Dans le deuxième chapitre de sa « Consolation de l’âme fidèle contre les frayeurs de la mort », Charles Drelincourt se penche sur les réflexions des grands philosophes païens au sujet de la mort. Dans le traitement de cette question existentielle, ils se montrent fort savants et habiles, mais ce qu’ils ont à dire ne saurait consoler l’homme face à la mort. Leurs paroles « piquent et instruisent, mais elles ne consolent point ». L’auteur concède une place à part aux philosophes stoïques, mais ces penseurs aussi, au lieu de panser la plaie, la rendent plus douloureuse encore.
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